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28 novembre 2011 1 28 /11 /novembre /2011 16:45
Ce titre quelque peu tapageur et un brin pompeux risque fort de m’apporter son lot de critiques acerbes et injustifiées (notamment de la part de personnes s’arrêtant au titre, justement). Même pas mal, ce n’est pas ça qui va m’arrêter, bien au contraire : je me réjouis d’avance de cette déferlante (z’allez voir que là, pour le coup, rien ne va se passer).

Bref, oui, je l’admets : je prends les gens pour de cons. Mais attention : pas dans le sens “je me fous de la gueule de ceux qui ont le malheur de croiser mon chemin” (quoique… ça peut aussi arriver, personne n’est à l’abri). Non, plutôt dans le sens “je ne te connais pas, à toi de me prouver que tu as quelque chose d’intéressant à dire”.

Non pas que je considère l’ensemble de l’espèce humaine comme un ramassis de crétins lobotomisés (quoique, là encore, il y a quand même de quoi en faire, des dîners de cons), mais je ne m’intéresse tout bonnement pas aux individus vides d’idées. Ceux qui croient en la sacro-sainte télévision, ceux qui suivent le FN, ceux qui suivent Sarkozy, ceux qui sont persuadés que l’écologie c’est pour “vendre des trucs inutiles et détourner l’attention des vrais problèmes”, ceux qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez, ceux qui “découvrent” l’horreur humaine, ceux qui se battent contre des chimères, ceux qui jouent le rôle de moutons de Panurge avec un réalisme effrayant, ceux qui suivent les émissions de télé-réalité et encensent les abrutis qui s’y donnent en spectacle, ceux qui ne sont pas capables d’aligner trois mots sans briller par leurs fautes de syntaxe, ceux qui végètent dans leur petit monde sans jamais ouvrir les yeux sur celui qui les entoure…

Il y en a beaucoup.

Et malheureusement l’actualité démontre une fois de plus la bêtise humaine : vendredi, un petit garçon est mort dans un lave-linge. Son père voulait le punir d’avoir jeté le dessin de l’une de ses camarades de classe dans les toilettes. Bref… Normal, quoi…

Donc oui, je suis une snob (mais ça je l’avais déjà avoué) qui méprise un peu toute cette foule d’anonymes qui font bien de le rester.

Pourtant, parfois, je fais une rencontre. Imprévue. Inattendue. Surprenante. Quelqu’un d’intéressant, voire de passionnant, qui me fait découvrir des tas de choses que je ne connaissais pas, qui me donne envie d’en savoir plus, d’en faire plus. Des gens qui illuminent une journée. Ces personnes, on les croise par hasard et elles nous ouvrent d’autres perspectives, nous font rêver, réfléchir (ça ne fait pas de mal, contrairement à ce qu’en pensent certains), avancer…

Mais voilà, pour une personne qui changera votre vie, combien dénuées de bon sens devront défiler devant vos yeux ? Combien d’absurdités faut-il endurer (les pressés, en voiture, qui vont s’escrimer à avancer sur le carrefour alors qu’il est bouché, juste parce que le feu est vert, bloquant ainsi ceux qui auraient pu profiter du prochain feu ; ceux qui ont décidé qu’ils monteraient dans le métro avant de laisser les passagers descendre, c’est tellement plus simple ; ceux qui poussent dans les files d’attente, des fois que ça ferait avancer plus vite ; ceux qui critiquent les vieux qui font la manche alors qu’eux-mêmes sont au chômage depuis des mois, ne réalisant pas que dans quelques années, à force de ne pas travailler, ce sont eux qui feront la manche pour pouvoir bouffer ; ceux qui traversent au rouge quand ils sont piétons mais sont les premiers à râler quand ils sont en voiture et qu’ils ne peuvent pas passer à cause de ceux qui font comme eux ; ou même tout simplement ceux qui tapent sur leur ordi / smartphone / télé qui ne fonctionne pas, comme si ça allait arranger les choses ; le livreur qui bloque la rue – ou la sortie de parking – alors que l’emplacement place livraison est libre…) avant de rencontrer quelqu’un qui vous fasse dire “ah, mais c’est pas bête, ça” ?

Alors oui, je prends les gens pour des cons. Et souvent je me demande si je n’ai pas raison

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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 15:46

La délicatesseUn grand buzz a eu lieu autour du livre de David Foenkinos, La délicatesse. Un grand buzz parce que ce livre est un petit bijou de poésie romantique, de grâce littéraire, un pamphlet à la gloire de cette vertu qui se perd dans un monde de brutes : la délicatesse.

C’est doux, c’est rassurant, quoique… On n’y est plus habitué… Ca aurait presque quelque chose de dérangeant tellement elle ne fait plus partie de notre paysage moderne. La délicatesse, pensez… Avec tous ces dangers qui nous attendent à chaque coin de rue, cette insécurité latente, qu’elle soit sentimentale, professionnelle, familiale…

Pourtant, il flotte comme un air de… gentillesse (dans le bon sens du terme), courtoisie, voire, soyons fous, galanterie, ces temps-ci. Remarquez ce monsieur à l’air si pressé qui prend pourtant le temps de tenir la porte du métro à la jeune fille qui n’a pas encore fini de monter les escaliers. Voyez cette automobiliste au volant de sa Fiat 500 flambant neuve qui vous cède le passage avec un grand sourire. Et cette femme qui aide cette autre à ramasser ses papiers tombés à terre…

Les exemples se multiplient. A croire que tout ce petit monde se rend enfin compte qu’il n’est pas… le centre du monde ! Que les autres êtres humains qui l’entourent ne sont pas une espèce hostile qui cherchera à lui nuire à la moindre occasion. Que, finalement, ça ne coûte pas grand-chose, un sourire, mais ça peut changer une journée.

Alors oui, mes journées sont plus belles depuis que vous souriez, Mesdames et Messieurs, dans les rames du métro, dans la rue, dans votre voiture. La vie est plus belle et novembre est moins triste. Un seul mot d’ordre : continuez !

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23 novembre 2011 3 23 /11 /novembre /2011 11:37

Les ponts de novembre sont propices aux petites escapades en terre étrangère. Pour ma part, j’ai commencé par aller fêter Halloween dignement (totalement antinomique) de l’autre côté de l’Atlantique, à Baltimore plus précisément. Mais avant d’enfiler mon costume d’infirmière délurée, je suis passée par la fameuse case shopping et ai jeté mon dévolu sur Abercrombie & Fitch (qu’on trouve, certes, à Paris, mais pas tout et certainement pas au même prix) et Victoria’s Secret (qu’on ne trouve toujours pas dans notre belle capitale et dont les frais de livraison et taxes vers la France sont si importants que ça dissuade illico de commander en ligne).

Petit retour sur mes achats raisonnés de ce début de mois.

Gilet AbercrombieTout d’abord, on rejoint l’esprit preppy avec un cardigan rayé fuchsia et bleu marine (une longue discussion entre bleu marine et noir semble avoir tranché pour le bleu marine en dernière minute et à côté d’un legging noir, mais certains ne sont toujours pas convaincus – donc ce sera bleu marine OU noir, selon l’humeur et la façon d’assortir). Il est long, donc idéal pour porter sur un legging avec un petit top un brin trop court autrement.

Le preppy, inutile de vous le répéter, c’est pile poil la tendance. On le voit sur Alexa Chung et ses copines, même votre stagiaire sait le mixer avec élégance. Donc on n’hésite pas sans pour autant tomber dedans la tête la première (trop de preppy tue le preppy, c’est bien connu). Idée fashion : on superpose le maxi-gilet Abercrombie sur une mini en cuir (à la place du legging) avec des bottes plates et un top près du corps. L’équation serait impossible (ou en tout cas risquée) sans le gilet pour dédramatiser la mini en cuir + le top moulant, même si les bottes plates font déjà une partie du boulot.

Passons ensuite aux chemises. Le carreau a la forme et la tendance est loin de s’être essoufflée en cours de route. On pioche donc allègrement dans le vestiaire coloré pour dénicher deux chemises girly (et en promo ! merci les mid-season sales de nos amis américains, avec eux on tombe toujours bien). La première fait plus été, je vous le concède, avec ses coloris pastels, tandis que la seconde est doublée et, comble du détail qui tue : avec une doublure différente. On aime le détail des petits carreaux quand on retrousse les manches.

Chemise Abercrombie 1Chemise Abercrombie 2

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour porter la chemise à carreaux, on ne va pas chercher bien loin : un jean, des tennis ou des bottes plates (tiens, encore elles), quelques bijoux pour féminiser le tout et le tour est joué ! On évite cependant l’option chemise ouverte sur débardeur : 1. il fait froid et 2. les nineties c’est fini…

Quant à Victoria’s Secret, j’ai craqué pour du hot pink rebaptisé pour l’occasion berry gloss (une vraie fille, je vous dis) et j’ai fait une razzia sur les push up qui vous font des seins… rebondis..? sans passer par la case chirurgie et des cheekies, ces culottes ultra-échancrées qu’on ne soupçonne pas sous les vêtements, mais qui sont tellement plus chics qu’un G-string

Victoria's Secret Very Sexy cheekiesVictoria's secret Very Sexy bra

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

De façon surprenante, pas de chaussures cette année. Il faut dire que Baltimore n’est pas non plus le comble de la fashion made in USA. Loin de NY et LA, on revient sur les basiques et on fonce sur les marques emblématiques. Du basique,  donc, mais avec chic.

La prochaine fois, je vous expliquerai comment j’ai dévalisé TopShop à Londres…

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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 18:42

Digital LoveAujourd’hui, je vais vous faire partager une découverte révolutionnaire : un site qui permet de faire l’amour avec de vraies personnes partout dans le monde, via un ordinateur. Le sexe virtuel est à portée de main et de beaux inconnus sont prêts à tenter l’expérience avec vous (ou de belles inconnues, c’est chacun ses goûts). Qui n’a jamais rêvé d’une rencontre improbable, d’un amant du bout du monde, d’une partie de sexe torride qui lui arrive sur un plateau d’argent à domicile ? Laissez tomber AlloSexo et tapez Digital Love

Tout commence par le choix du votre partenaire. Un homme ou une femme ? Un latino ou un européen (ou un asiatique, ou un arabe – notez qu’il n’y a pas de black, ça va en décevoir plus d’une) ? Faites votre choix et… découvrez le bel inconnu !

Placez votre main sur l’écran et… enjoy !

Oui, oui, oui..! Donc vous y avez cru ? Pfff. On vous ferait croire n’importe quoi, n’est-ce pas ? Non, parce que faut pas rêver : le sexe par ordinateur, ce n’est pas pour tout de suite, et certainement pas simplement en posant la main sur l’écran. Bref…

Le site est une création de Durex. Vous connaissez un peu, non ? Et parce que la seule façon de pratiquer le sexe sans risque c’est de se protéger, Durex est là pour nous le rappeler (un peu d’auto-promo n’a jamais fait de mal).

Quoiqu’il en soit, le site surfe sur la vague du décalage en matière de prévention sexuelle, au même titre que les très réussies campagnes AIDeS (ici et ici) dont on ne se lasse pas et qui entraînent un sacré buzz. Une tendance qui semble se confirmer après des années de prévention classique. Reste à savoir si les chiffres concernant les ventes de préservatifs vont donner raison à cet angle d’attaque pour aborder la prévention…

http://digital-love.org

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10 novembre 2011 4 10 /11 /novembre /2011 16:55

Makeup BrunchIl faut croire que c’est ma semaine girly puisqu’aujourd’hui j’ai décidé de vous faire partager un petit plan entre nanas.

Un brunch. Oui, mais alors, me direz-vous, ça n’a rien d’exceptionnel un brunch, voire c’est même presque banal. Oui, oui, oui… Sauf qu’il s’agit là d’un beauty brunch, avec au menu des jus de fruits frais, des cupcakes, des tartes salées et du makeup avec des conseils de pro à l’intérieur.

C’est organisé par GlossUp et ça se passe les dimanches de décembre à Paris.

Aux douze coups de midi, ce sera parti pour un brunch bio gourmand. Puis à 13h45, en route pour l’atelier maquillage. De quoi apprendre à poser l’eyeliner ou parfaire sa technique du smoky et passer un chouette moment entre copines.

Alors, il est pas top, ce plan ?

NB : pour les garçons, je suis certaine qu’un brunch gargantuesque au Germain vous ravira tout autant pendant que vos douces se feront belles.

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9 novembre 2011 3 09 /11 /novembre /2011 18:52

Living SocialUn jour, il faut se rendre à l’évidence : l’addiction est là, elle s’est installée sournoisement, lentement, l’air de rien. On pensait pouvoir y échapper, mais quand on réalise il est déjà trop tard : on y a pris goût. Pas un jour sans que la tentation ne revienne, fidèle au poste, toujours plus alléchante. Alors bien sûr on se dit “c’est la dernière fois”, “encore celui-là, après j’arrête”. Mais on ne peut pas. Il faudrait déconnecter, mais on a peur de rater quelque chose, de perdre une occasion de se faire du bien…

Cette addiction, elle nous menace tous. Il suffit de ne pas y goûter, mais… Il y aura toujours quelqu’un pour nous y initier. Une bonne âme pensant faire le bien. Parce qu’elle ne se rend pas compte, elle ne sait pas encore qu’elle est elle même prisonnière de cet engrenage.

La ronde des deals

Je suis devenue dealeuse professionnelle sans m’en apercevoir.

Ils arrivent dans ma boîte quotidiennement et je me laisse séduire. Ici un massage à quatre mains, là un cours de salsa, une mani-pédi ou un tour en Segway dans les jardins de Versailles, tous à prix cassé… Autant d’expériences qu’il serait dommage de ne pas vivre. Et ce massage thaï à deux pas du bureau… Qui n’a jamais rêvé d’une pause détente à l’heure du déjeuner..?

Me voilà devenue accro. Parfois, je résiste un temps. J’espère tenir suffisamment pour que le deal soit terminé. Juste assez pour le regretter après : ce cours de pâtisserie avait l’air bien sympa quand même… Le plus souvent, je prends. Parce que c’est facile : un clic et c’est parti. Un pour moi, un pour maman, un pour une amie dont c’est l’anniversaire…

Le deal groupé est devenu en l’espace de quelques années le reflet d’une société qui reçoit tout et ne cherche rien. On ne va plus vers l’achat, c’est lui qui vient à nous. Ca devrait être interdit par la loi, puni par les autorités, soumis à une régulation sévère…

Vente privée a ouvert la voie, Groupon a modifié la donne avec de sales coups, Living Social cartonne avec une offre sans cesse renouvelée. Mea culpa : je suis addict au deal. Et je ne suis pas la seule. Celui qui mettra en place des cures de désintox aux deals groupés deviendra millionnaire.

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8 novembre 2011 2 08 /11 /novembre /2011 16:57

Ce matin, un petit malin m’a envoyé un lien plutôt bien (allitération en “in”, ça faisait longtemps). Bref, vous n’avez jamais rêvé de savoir ce qui passait à la télé l’année de votre naissance ? Films, séries, pubs, sport, musique… Que celui qui n’a jamais reçu le journal de son jour de naissance lève le doigt : on aime savoir ce qui s’est passé à une époque dont on se souvient peu ou pas. D’ailleurs, les dessins animés de notre enfance (je parle des trentenaires) font un véritable carton et ressortent en coffret collector.

Merci à cette grande invention qu’est le web, aujourd’hui (presque) tous les contenus sont disponibles en ligne. Chacun y va de sa petite vidéo, quand ce ne sont pas des chaînes ou des maisons de production qui les mettent en ligne. Le World Wide Web est devenu la plus grande source de VOD au monde, avec du contenu gratuit et qui sort parfois de l’ordinaire.

Revenons-en à ce site découvert au hasard de tribulations sur la toile. Il s’agit de la Video Time Machine ; traduire : une machine à remonter le temps en vidéo. Aha..! Je vois bien que ça commence à vous intéresser, là… Et vous avez raison ! Le site est on ne peut plus simple : une timeline qui va de 1860 (sic ! de la vidéo en 1860…) à 2011. Déplacez le curseur et… visionner l’une des vidéos correspondant à l’année sur laquelle vous vous êtes posé. Video Time Machine

Inutile de vous dire que de revoir des séries des années 70, quand la réussite sociale des femmes aux Etats-Unis revenait à exceller dans un boulot de secrétaire, c’est assez frappant. On découvre des émissions, on en retrouve d’autres (le Muppet Show est à l’honneur) et on… subit, parfois, des sons… vintage. Et les fans de dessins animés de la Warner, ils vont pouvoir se régaler !

Seule déception : les vidéos sont essentiellement américaines, donc aucune chance d’y retrouver des pubs de notre enfance ou des héros comme Albator ou Candy. A quand la version française..?

Pour faire un bon dans le temps : http://yttm.tv/

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7 novembre 2011 1 07 /11 /novembre /2011 19:10

Miami BeetAujourd’hui, je m’adresse aux filles, aux coquettes, aux fashionistas qui cherchent le vernis idéal. Alors oui, à chaque saison on nous présente les couleurs à porter. Parfois il s’agit de bordeaux tout-à-fait portable, parfois on se retrouve à devoir arborer du bleu canard. Si j’adore les couleurs flashy et que ma palette va du turquoise au prune en passant par le fuchsia et le cerise, je dois tout de même admettre qu’à moins d’avoir le temps de se refaire les ongles à chaque changement de tenue (ou de décider que cette semaine ce sera tout en bleu, la prochaine tout en violet, etc.), mieux vaut donner dans la valeur sure.

Et qui dit valeur sure dit vernis qui s’adapte à tous les styles (je vois mal mon médecin avec un bleu pétrole – elle ferait peur aux enfants !), à toutes les situations et (presque) à toutes les couleurs. Ce vernis, il existe. Ce n’est ni un Chanel ni un Bourjois, mais un O.P.I., la marque américaine qui a eu la bonne idée d’émigrer vers chez nous.

O.P.I., c’est une marque qui, comme MAC (que j’affectionne particulièrement pour la tenue de ses fards à paupières), donne des petits noms bien funky à ses vernis. Et la perle rare, c’est le Miami Beet qui porte bien son nom (“beet” pour “beetroot” => betterave). Un rouge foncé avec une teinte de violet, qui se marie aussi bien avec du rouge pétard qu’avec du rose, du bleu marine ou encore du violet. Evidemment, il est chic (pas de paillettes) et résiste au temps (une semaine que j’ai fait ma mani-pédi à Baltimore – je ne vous avais pas dit que j’étais partie faire un tour de l’autre côté de l’Atlantique pour Halloween ? – et il est toujours aussi beau).

A mettre dans son sac, dans son tiroir au bureau et bien entendu dans sa salle de bain.

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3 novembre 2011 4 03 /11 /novembre /2011 16:45

Aujourd’hui, pas de prise de tête, mais un petit sacré retour en arrière avec une émission réunissant Drucker, Cloclo et Jodie Foster. Ce jour-là, Michel Drucker a fait passer une parodie (hommage?) de Star Wars, LE film de l’année 1977 à l’antenne. Un ballet disco où des C-3PO et des Darth Vador (oui, “Darth” et non pas “Dark”) se retrouvent dans une chorégraphie… disons… assez spéciale.

On regrette cependant que Cloclo et ses Claudettes n’aient pas enchaîné sur une choré de leur cru, un mélange entre Star Wars et Le lundi ou soleil : petites jupettes et casque de l’empire.

Une initiative bien française, avec les moyens du bord et des effets spéciaux de la première heure, qui a le mérite de conserver le thème désormais mondialement connu de John Williams. Plus traditionnel, dans le style comédie musicale à l’américaine, la Starwars Disco Fever n’en est pas moins… déconcertante. Avec une musique gentillette sortie d’on ne sait où, cette vidéo qui met en scène plusieurs personnages du film (et non un quadrille de clones d’un seul et même personnage) ressemble à une interprétation qui, si elle n’était pas kitsch à souhait, serait tout bonnement ridicule.

Après réflexion, je retire le “kitsch à souhait” et ne garde que le “ridicule”. On n’a pas le droit d’écorcher Star Wars !

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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 13:04

“Ca plane pour moi”, ça vous dit quelque chose ? Et oui : années 70, Plastic Bertrand déboule sur les ondes radio françaises. Les trentenaires (et les quadras) s’en souviennent. Un grand moment de… musique..?

Ce qu’on connaît moins, c’est le “Jet Boy Jet Girl” d’Elton Motello. Pourtant, il s’agit bien de la même mélodie, du même rythme… Les paroles, en revanche, sont plus… moins… Enfin, je vous laisse découvrir…

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