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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 12:01

A tous ceux qui n’y étaient pas : la soirée nomade du 13 mai à la Fondation Cartier avait des airs de provoc’ plutôt sympathiques. Non pas que j’aie anticipé ce que j’allais voir : je suis comme ça, moi, je ne regarde pas ce qui m’attend à l’avance. J’aime être surprise. Je préfère découvrir une page blanche qui se remplit devant mes yeux plutôt que lire les critiques, les résumés et autres notes qui vont me “mettre dans l’ambiance” dans le meilleur des cas, me raconter l’histoire dans le pire. (le meilleur exemple en étant le cinéma : jamais vous ne me verrez lire les critiques, les synopsis en long, en large et en travers…)

Passons et revenons au cœur du sujet : la soirée nomade que vous avez vraisemblablement loupée.

Lundi 13 mai, fin de journée ensoleillée, les gens retrouvent un semblant de sourire dû au ciel clair, d’aucuns se pressent devant la Fondation Cartier, habituellement fermée le lundi, mais accueillant ce jour-là l’une de ses soirées nomades. Vous ne connaissez pas les soirées nomades ? Ce sont des soirées organisées autour de l’exposition du moment. Non pas pour la visiter, mais pour “inspirer” une réunion d’artistes qui vont réaliser des performances.

Me voilà donc devant un écran, mal installée (oui, je peux le dire : les bancs en bois ça peut être sympa, mais pas quand l’assise fait 20 cm et qu’on a les pieds dans le vide), à visionner des photos qui succèdent à des extraits de vidéos racontant ainsi la vie des Modlins. Un film réalisé par Sergio Oksman. Non, je ne connaissais pas, mais maintenant je sais…

Pour la suite, on remonte à l’étage. Et voilà qu’entre en scène Gary Stevens. Gary Stevens doit être un peu schizophrène à force d’interpréter plusieurs personnages qui ne sont différenciés que par un accessoire (barbe, chapeau, perruque, lunettes, oreilles de chien - si, si !).

Et enfin, Ursula Martinez. Contrairement à beaucoup d’hommes, je ne l’avais jamais vue. Ni son hanky panky show, un doux mélange en magie et strip-tease. Imaginez un peu. Vous ne voyez pas..? Alors regardez ici :

Ursula Martinez, ça a un peu été la bouffée d’oxygène de la soirée : une femme aux répliques aiguisées, drôle, sympathique, witty (non, je ne traduirai pas : c’est exactement l’adjectif qui lui convient. Et pour les non-anglophones un peu flemmards, c’est par ici). On rit. Vraiment. Du début à la fin. Et c’est suffisamment rare pour être remarqué. On retiendra tout de même, pour résumer sa performance et faire un peu de teasing, qu’on y a vu des seins, une chatte et une bite de 19 cm (ce n’est pas moi qui le dis !!!).

Au final, ce genre de soirée surprend par son éclectisme et son originalité. On parcours différents univers, on migre d’une salle vers l’autre en apercevant en route les œuvres exposées (en ce moment Ron Mueck - relativement dérangeant) et en ne voyant pas le temps passer. C’est aussi ça, l’art moderne !

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17 avril 2013 3 17 /04 /avril /2013 13:45


Drive-in.jpgLe Grand Palais n’en finit plus de se diversifier. J’y ai connu des salles de cours (oui, oui : italien à la Sorbonne, il y a quelques années, ça se passait dans l’enceinte du Grand Palais), une fête foraine, une patinoire… Et maintenant voilà que cet espace magique se transforme en drive-in pour nostalgiques du ciné à l’ancienne version film des années 50. Une idée qui change des soirées habituelles.

Quant à la programmation, elle sera assez éclectique avec, entre autres, le mythique Pulp Fiction, le romantique Grease ou le classique Taxi Driver… (oui, aujourd’hui c’est rimes en “ique”, je vous épargne les autres…). De quoi satisfaire tous les goûts, même si on imagine déjà la difficulté du choix entre la midinette fans de gomina et son amoureux accro aux films virils.

Une expérience à part, donc, accessible à tous “dans la limite des places disponibles”, soit 1000 pour chaque séance. Des places éparpillées entre des chaises longues pour bien voir et des Fiat 500 pour le côté vintage. Et, parce qu’un bon drive in implique du burger de compét’, Gita Seaton officiera aux fourneaux d’un diner typique (je vous avais bien dit que c’était la journée des rimes en “ique”, non..?). Egalement sur place : un espace jeux (à nous le flipper !) et un autre boîte de nuit (You’re the one that I want, oohoohoo!).

Attention : du 10 au 21 juin, Paris se met à l’heure américaine (à défaut du quart d’heure).

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4 avril 2013 4 04 /04 /avril /2013 14:52


Monstres-de-mode.jpgLa Gaîté Lyrique
, vous connaissez ? Pas encore ? Alors c’est qu’il est temps pour vous d’aller y faire un tour pour profiter des derniers jours de l’exposition Arrrgh ! Monstres de mode. Au travers de 58 costumes imaginés par des créateurs contemporains, l’exposition offre un regard décalé sur la mode et ses extrêmes.

Passionnés de mode, soyez surpris. Car non, les créateurs n’envisagent pas toujours qu’on porte leurs tenues improbables. Entre symboliques fortes et costumes tout droit issus d’un esprit non pas dérangé - quoique, la question se pose parfois - mais débordant d’imagination, les 58 pièces présentées nous font entrer dans l’envers des podiums. Des travaux expérimentaux, d’autres issus de collections singulières aux influences abstraites.

Les monstres de cheveux de Charles le Mindu laissent penser qu’un traumatisme d’enfance le pousse à semer les cheveux comme autant de fils le reliant à une réalité parallèle ;  des tenues d’Issey Miyake rappellent sans hésitation les hommes des sables de Star Wars ; des fantômes à visage nous hantent dans une pièce sombre ; une petite fille porte une cage sur la tête, comme si sa maison était devenue trop petite pour elle alors qu’elle était encore à l’intérieur ; une femme a un visage de revolver ; une autre déploie sa tenue comme le dragon ses ailes…

Cette exposition déconstruit volontiers les mythes d’une mode aseptisée faite pour séduire le plus grand nombre. Ces modèles s’inspirent des mangas, des jeux de rôles, parfois même de nos plus sombres cauchemars pour créer un malaise qui prend tout son sens dans la mise en scène. Une crainte survient tout à coup : et s’ils se mettaient en mouvement, prenant vie comme dans un film d’horreur dont on ne connaît que trop bien la fin..? L’angoisse est intensifiée par la salle vidéo où des images dérangeantes sont projetées sur tous les murs ; prisonniers du côté obscur de la mode

Entrez par la petite porte pour rejoindre ces personnages qui interrogent sur la forme et le rôle du costume. Et si vous croisez un monstre qui semble tout droit sorti d’X-Or, ne vous inquiétez pas : il ne vous mangera peut-être pas…

Vite, c’est seulement jusqu’au 7 avril...!

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29 mars 2013 5 29 /03 /mars /2013 14:59


20-ans-d-ecart.jpgC’est la comédie romantique de l’année. Oui, nous ne sommes qu’en mars et je le déclare déjà. Et par conséquent, inévitablement, le film à aller voir si ce n’est déjà fait. D’ailleurs, comment ça “vous ne l’avez toujours pas vu” ? Avec le succès dès les premiers jours...? Vous n’y étiez donc pas, parmi ces milliers de personnes qui se sont pressées pour aller se régaler les yeux avec Pierre Niney ou Virginie Effira (il en faut pour tous les goûts, n’est-ce pas ?) ? Séance de rattrapage…

Le pitch : Alice a 38 ans. Alice est rédac chef d’un magazine féminin à tendance “djeun’s”. Alice voit sa promo remise en question  pour cause de midinette délurée ambitionnant ouvertement de prendre sa place. Mais tout bascule le jour où elle revoit Balthazar, étudiant de 20 ans son cadet rencontré dans l’avion, et que des clichés d’elle et lui se mettent à circuler sur le web. Alice redevient aussitôt bankable aux yeux de son boss. C’est alors qu’elle décide d’utiliser sa relation encore inexistante avec Balthazar (mais qui ne demande que ça, une relation avec elle) pour s’élever au firmament…

Bien sûr, qu’on s’attend à ce qu’Alice se prenne à son propre jeu. En même temps, quelle femme normalement constituée pourrait résister au charme indéniable de Pierre Niney, irrésistible Balthazar (qui, du coup, devient furieusement tendance) ? De vernissages en traversées de Paris sur un improbable scooter rose, ces deux-là redonnent foi en l’amûûûr par hasard.

Verdict : un comédie légère, dont on anticipe la fin sans réelle surprise, mais qui a le mérite de ne pas tomber dans le cliché fatal. Plutôt agréable : le contraste entre Balthazar qui tombe amoureux d’une femme plus âgée tandis que sa nouvelle belle-mère n’est autre qu’une ancienne copine de lycée. D’un côté, la tendresse de Balthazar et Alice, de l’autre la relation pathétique d’un père dans sa middle age crisis. Ou comment tordre le cou avec élégance aux schémas habituels… Pour peu, on irait même traîner dans les bars d’étudiants dans l’espoir de trouver l’étincelle…

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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 11:43


Dali-a-Pompidou.jpgVite, vite, vite !
A minuit, il sera trop tard. Un peu comme Cendrillon et son carrosse, Dali s’envolera en fumée et le Centre Pompidou fermera ses portes sur l’une des expositions les plus successful de l’année. Une fin en apothéose avec un peu plus de trois jours d’ouverture non-stop, H24, pour que les retardataires puissent découvrir cette rétrospective dans le monde débridé de Dali.

Dali et son univers fascinant, teinté de perversion géniale et de symboles à foison. Un monde étrange mêlant onirisme transcendant et imaginaire débridé. Une dimension particulière où on ne sait jamais ce qu’on va trouver. Sexe, interprétations décalées, démolition des symboles, transgression font partie des caractéristiques du génie auto-proclamé.

Mais au-delà de cette symbolique si décriée, parfois (souvent toujours) en totale provocation avec les codes habituels, en opposition jubilatoire avec les idéaux d’un courant dont il était une figure de proue, Dali était avant tout un maître de l’illusion et des couleurs. Des couleurs vibrantes, des contrastes saisissants, au service de son art. Un art à la lecture double, parfois triple, entre ce qu’on voit, ce qu’on croit voir et ce qui est transmis.

Fascinant Dali. Dérangeant Dali. Un artiste aux idées tordues par son imagination fulgurante. A voir, revoir et ne surtout pas manquer. Le compte à rebours a commencé…

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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 12:08

Aujourd’hui, j’ai décidé de vous dérider un peu avec une petite vidéo bien pensée. Et si les animaux sauvages mangeaient du McDo, à quoi ressembleraient-ils ? Comment serait leur vie ? La réponse en images :

Ca se passe de commentaires…

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5 février 2013 2 05 /02 /février /2013 11:30

Paris face cachée, c’est une manifestation qui a eu lieu pour la seconde fois les 1er, é et  3 février dans Paris et banlieue. Le concept est simple et plutôt attractif : la promesse de découvrir des lieux peu ou pas connus avec en prime une tranche d’histoire, tout ça - presque - en aveugle puisque le secret de l’animation pour laquelle on a signé est gardé jusqu’au dernier moment. Tout juste sait-on où ça va se dérouler…

En bonne freelance que je suis, j’ai décidé de me prêter au jeu et d’aller y faire un tour. Evidemment, de nombreux ateliers étaient déjà complets, mais le titre de celui-ci m’a attirée : “Des jeux sur un plateau”… Gamer once, gamer always… Qu’il s’agisse de jeux vidéo ou de jeux de société !

Rendez-vous à Boulogne, au Trapèze, une médiathèque abritant le Centre National du Jeu, une association qui a pour vocation de conserver et de répertorier les jeux de société - qui portent drôlement bien leur nom, on s’en rend vite compte, tels des miroirs d’une époque - depuis le 19ème siècle jusqu’à aujourd’hui. Dans la salle des archives, située dans un lieu que nous garderons secret, on trouve pêle-mêle (enfin non, c’est organisé, et même très bien compte-tenu du nombre impressionnant de jeux qui y sont conservés) de vieux Monopoly, La conquête du monde (l’ancêtre de Risk), des jeux de loto à l’ancienne datant de 1831 avec non pas seulement des numéros, mais des questions (on est vraiment à la ramasse niveau culture gé, comparés à nos aïeux), des jeux un peu “racistes” venus des Etats-Unis (d’où ailleurs ?), des jeux sur la guerre, un Chomageopoly (sic !), mais aussi le jeu de Doc et Difool ou encore Loft Story (la culture, mes amis, la culture…)…

La visite est “consistante”. Quand on a autant de matière, difficile de faire plus court, même si on regrette quand arrive l’heure de n’avoir pas joué. Mais ceux qui n’avaient rien prévu après pouvaient rester et s’initier à des jeux inconnus (des jeux de société, hein, pas des jeux interdits) puisque la lieu est ouvert le vendredi jusqu’à deux heures du matin et le samedi… Euh, le samedi jusqu’à 22h tout de même !

Les fans de jeux de société et de jeux d’ambiance peuvent donc y aller jouer des parties  tout au long de l’année. Pour les autres, ceux qui veulent voir les coulisses, il va falloir attendre la prochaine édition de Paris face cachée… Et croyez-moi : ça vaut le coup !2m2

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4 février 2013 1 04 /02 /février /2013 14:25

7 psychopathesLe film est à peine sorti que déjà on se presse pour aller le voir. Pensez plutôt : un film sur des psychopathes, ça parle par les temps qui courent. On s’imagine déjà devant des scènes ensanglantées, on ne sait s’il faut s’attendre à du torturé, du drôle, un mélange de tout ça. On y va par curiosité.

Le pitch : Marty est scénaristes. Marty a un souci d’inspiration. Il a le titre de son prochain scénario - c’est déjà ça - mais il bloque pour l’écrire. Entre en scène son meilleur ami, Billy, un comédien qui lui veut du bien et ne demande qu’à coécrire le scénar. Le titre du film ? 7 psychopathes. Reste à les trouver, à raconter leur histoire… Mais parfois, la fiction rattrape la réalité - ou bien est-ce le contraire..?

Mettre en scène des tueurs psychopathes et leur trouver une part d’émotion, il fallait y penser. On ne s’attarde pas ici au destin d’un seul, mais aux interactions de chacun, à leur rencontre plausible - ou pas - dans une histoire qui leur serait commune. Le quaker qui a la foi, le mafieux fou de son chien, le serial killer à la retraite, le vietnamien vengeur et cet étrange valet de carreaux qui semble sorti tout droit de l’imagination de Billy

Verdict : on aime ! De la même veine que Kiss Kiss Bang Bang - NDLR : la comparaison n’est pas de moi, mais je suis d’accord alors je reprends avec copyright AC -, 7 psychopathes est un film qui demande un peu de suivre. Non, tout n’est pas apporté sur un plateau et il faut un peu faire travailler ses neurones, ce qui n’est pas désagréable, loin de là. Le film est bien tourné, il y a de l’hémoglobine drôle (un peu comme chez Tarantino) et les acteurs - Coin Farrell, Sam Rockwell, Woody Harrelson, Christopher Walken -  sont excellents (accessoirement, Colin Farrell y est carrément beau gosse, ce que je n’avais jamais remarqué jusque-là).

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30 janvier 2013 3 30 /01 /janvier /2013 13:16

PauletteUn lundi soir sur la Terre, les poches pleines de super tickets (merci Gaumont), me voici au cinéma pour une bonne petite comédie française de début d’année (il y en a quelques-unes en ce moment) : Paulette. Le retour sur grand écran de Bernadette Soubirou Lafont et Dominique Lavanant - enfin, je dis “retour”…

Le pitch : Paulette est retraitée. Paulette n’aime personne, surtout pas son petit-fils “parce que t’es noir”. Paulette vit dans une cité, entourée de dealers en tous genres. Et le jour où l’un d’eux se fait pingler et qu’elle apprend de la bouche de son gendre - noir ET flic - combien ce petit trafic peut rapporter, elle décide de s’y mettre. Il faut bien s’occuper entre deux parties de bridge !

Paulette est une comédie sympathique à l’humour un brin caustique comme on les aime. Pas de grands effets à l’américaine, mais un humour grinçant qui n’est pas sans rappeler Tatie Danielle. Ah, Tatie Danielle..! Et dire que les ados d’aujourd’hui ne savent pas qui elle est… Bien entendu, Paulette donne quelques idées pour qui voudrait se lancer dans l’industrie florissante de la Marie-Jeanne et on imagine d’ici les space cupcakes savoureux vendus dans les arrière-boutiques de pâtisseries ayant pignon sur rue. En période de crise, ma bonne dame, il faut savoir se diversifier.

Verdict : un film bien tourné, pas trop cliché, pas trop téléphoné - même si on se doute bien qu’elle n’est pas si méchante que ça, la Paulette - et qui fait passer un bon moment. Idéal pour un début de semaine grisaille. Et ça tombe bien : on est en hiver !

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21 janvier 2013 1 21 /01 /janvier /2013 10:42

Django UnchainedUn samedi soir sous la neige à Paris. Que faire, que voir ? Et pourquoi pas un petit ciné pour le dernier Tarantino ? Banco, à nous le western made in  21ème siècle. Le réalisateur barré refait des siennes en s’attaquant à un genre vieux comme le monde (ou en tout cas comme le 7ème art) pour le mettre à sa sauce, et quelle sauce..!

Le pitch : le Dr. Schultz est un chasseur de primes. Pour retrouver des hors-la-loi dont il ne connaît pas les visages, il “achète” un esclave (nous sommes deux ans avant la Guerre de Sécession), Django, qui a travaillé sous leurs ordres dans une plantation. Django, quant à lui, ne pense qu’à retrouver sa femme, une esclave qui parle allemand. Le bon Dr. Schultz, qui se sent responsable de Django puisqu’il en a fait un homme libre, lui propose de l’aider en s’associant à lui afin de lui permettra de gagner de l’argent et d’aller retrouver sa femme après.

Comme dans tout bon western, ça tire dans tous les sens (je vois d’ici les petits vicieux à l’esprit mal tourné…), mais là Tarantino donne son twist décalé. Donc il y a du sang - beaucoup -, de la romance - un peu -, de la morale - relative - et une bonne dose d’humour - pas commun. Le film est rythmé, punchy et complètement à l’ouest (ok, elle était facile). Les amateurs de western devraient y trouver leur compte et les non fans ne pas y trouver à redire.

Verdict : un Tarantino comme on les aime. Moins… Plus… Enfin, un excellent film à ne rater sous aucun prétexte.

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